Costume traditionnel et porte-bébé
Le transport de volaille : sur la photo tous les sacs sont remplis de poulets et remuent. On les transporte fréquemment en bus. Ça pue !!!
Refuge en cas de séisme :
Lampe d'urgence sur batterie (on en trouve partout)
Trousse de secours (partout: resto, bus, épicerie...)
Quand on commande un café au Pérou, on vous apporte une grande tasse d'eau (du coup je me mets au café con leche) avec un petit récipient contenant le café. La première fois le récipient était un vinaigrier, (comme chez nous l'huile et le vinaigre), j'ai mis un moment à comprendre.
Une variante :
Les boutiques sont protégées par des barreaux de fer, souvent on vous sert au travers.
L’électricité c'est beaucoup de fils :
Bon ça ne rend pas très bien en photo mais regardez les raccords :
Beaucoup de résidences sont protégée avec des fils électrifiés :
Une pharmacie au Pérou : l'angle n'est pas très bon mais à l’entrée à gauche il y a un frigo coca-cola plein de sodas !!
Les péruviens sont petits, on le savait... mais quand même !
Les constructions inachevées s'étendent à perte de vue, tous les toits hérissés d'armatures métalliques. L'explication est simple : si vous terminez votre maison vous payez une taxe, alors on prévoit toujours un étage en plus qui ne sera jamais construit.
Dans le même genre, des constructions à peines commencées puis abandonnés bordent les routes sur des km et des km. L'explication : il parait qu'après quelques années on peut revendiquer la propriété du terrain ainsi occupé.
03 novembre 2010
Gastronomie Péruvienne
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La spécialité péruvienne, le Cuy. Voici un Cuy cru :
Et un Cuy cuit :
Au Pérou on aime beaucoup le poulet :
Alors voici une Torrejitas de Camarones. C'est un plat délicieux qui se situe entre l'omelette et la crêpe, avec dedans de grosses crevettes. Le problème c'est que ces gambas sont entières et non décortiquées !
A droite, une jolie moitié intacte, à gauche j'ai fait un massacre en essayant de les décortiquer. Je suppose que les péruviens les croquent entières avec la tête. J'ai essayé, c'est horrible !
Un bon repas est toujours accompagné d'Inka-cola (un produit local très sucré qui appartient maintenant à coca-cola). On trouve une grande variété de tailles standard pour les bouteilles :
Dessert maintenant : regardez les bons gâteaux crémeux !! comme en Pologne !
Le mieux reste la façon dont on les transporte :
Nous sommes dans une boulangerie : regardez en haut, du papier toilette !
Et un Cuy cuit :
Au Pérou on aime beaucoup le poulet :
Alors voici une Torrejitas de Camarones. C'est un plat délicieux qui se situe entre l'omelette et la crêpe, avec dedans de grosses crevettes. Le problème c'est que ces gambas sont entières et non décortiquées !
A droite, une jolie moitié intacte, à gauche j'ai fait un massacre en essayant de les décortiquer. Je suppose que les péruviens les croquent entières avec la tête. J'ai essayé, c'est horrible !
Un bon repas est toujours accompagné d'Inka-cola (un produit local très sucré qui appartient maintenant à coca-cola). On trouve une grande variété de tailles standard pour les bouteilles :
Dessert maintenant : regardez les bons gâteaux crémeux !! comme en Pologne !
Le mieux reste la façon dont on les transporte :
Nous sommes dans une boulangerie : regardez en haut, du papier toilette !
Fin de notre aventure au Pérou
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Nous quittons le Pérou pour la Bolivie. Nous avions prévu d'aller visiter le côté bolivien du lac Titicaca mais cette visite est remise à plus tard, dans l’immédiat nous fonçons à La Paz pour y retrouver Loïc car ne reste que jusqu’à vendredi (nous sommes mercredi).
Pour conclure ces deux mois et 4 jours passés au Pérou, voici une sélection d'images typiques et quelques réflexions.
Pour conclure ces deux mois et 4 jours passés au Pérou, voici une sélection d'images typiques et quelques réflexions.
02 novembre 2010
Les iles d'Amantani et de Taquile
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La légende dit que le premier inca, fils du soleil est né dans ce lac. Même si elles sont très touristiques les deux îles péruviennes : Amantani et Taquile conservent de très anciennes traditions et leurs habitants parlent le Quechua et l'Aymara, pas l'espagnol.
Le relief des deux îles est entièrement sculpté par les terrasses pré incas. Aujourd'hui, si l’agriculture reste une activité importante, la plupart de ces terrasses sont abandonnées.
La population de ces deux îles (respectivement 4000 et 3500 habitants) continue d'appliquer les lois incas : ne pas voler, ne pas mentir, ne pas être paresseux. (J'ajouterai que les deux premières lois ne valent pas vis à vis des touristes). Il n'y a pas de police mais une sorte de conseil qui fait autorité dans chaque village.
Un code vestimentaire strict montre le statut social de chacun : majeur, mineur, célibataire, marié, autorité de village (et ses enfants !) se distinguent par un bonnet et une ceinture spécifique.
Les femmes mécontentes peuvent se manifester en utilisant les gros pompons sur leur châle appelant ainsi le conseil du village à intervenir dans leurs problèmes.
Nous passons une nuit sur Amantani dans une famille. Le soir nous nous déguisons en péruviens pour aller danser avec les villageois sur de la musique typique.
Les danses sont très basiques mais c'est à la fois amusant et agréable de danser habillé ainsi car la nuit est très fraîche. En effet, on se croit au bord de la mer mais nous sommes sur un lac à 4000 mètres d'altitude !
Le relief des deux îles est entièrement sculpté par les terrasses pré incas. Aujourd'hui, si l’agriculture reste une activité importante, la plupart de ces terrasses sont abandonnées.
La population de ces deux îles (respectivement 4000 et 3500 habitants) continue d'appliquer les lois incas : ne pas voler, ne pas mentir, ne pas être paresseux. (J'ajouterai que les deux premières lois ne valent pas vis à vis des touristes). Il n'y a pas de police mais une sorte de conseil qui fait autorité dans chaque village.
Un code vestimentaire strict montre le statut social de chacun : majeur, mineur, célibataire, marié, autorité de village (et ses enfants !) se distinguent par un bonnet et une ceinture spécifique.
Les femmes mécontentes peuvent se manifester en utilisant les gros pompons sur leur châle appelant ainsi le conseil du village à intervenir dans leurs problèmes.
Nous passons une nuit sur Amantani dans une famille. Le soir nous nous déguisons en péruviens pour aller danser avec les villageois sur de la musique typique.
Les danses sont très basiques mais c'est à la fois amusant et agréable de danser habillé ainsi car la nuit est très fraîche. En effet, on se croit au bord de la mer mais nous sommes sur un lac à 4000 mètres d'altitude !
01 novembre 2010
Les îles flottantes
Nous visitons les fameuses îles flottantes sur lesquelles Esteban et Zia sont allés et où Tao a construit un mini sous-marin.
Aujourd'hui amarrées pour le tourisme elles ont autrefois permis à leurs habitants, les Uros d'échapper aux Incas et bien plus tard aux espagnols.
Tout est construit en totora (jonc tressé) : les maisons, les bateaux et l’île elle même sauf sa base qui est formée de racines de joncs pris dans de la terre.
Sur cette base, les Uros ajoutent régulièrement des couches de joncs. Les couches les plus anciennes finissent par se décomposer ce qui donne une étrange sensation molle sous les pieds. Pendant la saison sèche, on ajoute des couches de joncs verts tous les 15 jours pour limiter les risques d'incendies.
A notre arrivée, une petite fille nous invite dans sa maison et nous fait essayer des vêtements locaux.
Nous sommes bien surpris car pour une fois on ne nous demande pas d'argent, et nous achèterons deux cartes postales.
Aujourd'hui amarrées pour le tourisme elles ont autrefois permis à leurs habitants, les Uros d'échapper aux Incas et bien plus tard aux espagnols.
Tout est construit en totora (jonc tressé) : les maisons, les bateaux et l’île elle même sauf sa base qui est formée de racines de joncs pris dans de la terre.
Sur cette base, les Uros ajoutent régulièrement des couches de joncs. Les couches les plus anciennes finissent par se décomposer ce qui donne une étrange sensation molle sous les pieds. Pendant la saison sèche, on ajoute des couches de joncs verts tous les 15 jours pour limiter les risques d'incendies.
A notre arrivée, une petite fille nous invite dans sa maison et nous fait essayer des vêtements locaux.
Nous sommes bien surpris car pour une fois on ne nous demande pas d'argent, et nous achèterons deux cartes postales.
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