Son nom signifie : « la pierre qui chante » en guarani et fait référence à la petite île située sur le fleuve avant les travaux.
A l’époque de sa construction les 3 pays étaient dirigés par des dictatures militaires et un accord fut nécessaire avec l’Argentine car en cas de conflit, l’ouverture des 14 canaux de décharge du barrage avec un débit de 62 200 mètres cube par seconde (soit 40 fois le débit des Chutes d'Iguaçu) pourrait inonder Buenos Aires.
De l'extérieur déjà l'installation est impressionnante par sa taille. Comme le niveau de l'eau est haut, le barrage déverse de l'eau à travers canaux de décharge qui ne produisent pas d'énergie mais déversent l'eau à grande puissance. Des rampes en béton sont sensées briser cette énergie en créant de gigantesques gerbes d'eau.
Et voici une vidéo :
Nous continuons la visite avec la salle de contrôle divisée en 2 : à gauche le Brésil, à droite le Paraguay. Les grosses armoires électriques contiennent les anciennes commandes disponibles en cas d'urgence. L'écran central présente les commandes numériques. Vous ne trouvez pas qu'il y a un petit air de ressemblance avec le centre de lancement des fusées Ariane ?
L'édifice est impressionnant par sa taille, nous traversons des galeries dans lesquelles on pourrait faire atterrir un petit avion tellement elles sont grandes.
Nous terminons par la visite d'une turbine en fonctionnement ! Cette énorme pièce métallique tourne dans un bruit assourdissant ! (voir vidéo)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire