C'est le prétexte que nous attendions pour visiter l'Uruguay, de l'autre coté du fleuve. Nous partons pour deux jours seulement de façon à ne pas rater nos cours de tango.
En chemin, lorsque le bus nous dépose près du terminal fluvial de Buenos Aires, nous nous retrouvons sur une sorte d'autoroute que nous devons traverser à pieds et il n'y a absolument aucune indication. Les rares personnes que nous croisons nous indiquent le chemin et semblent trouver cette situation normale. Finalement, nous nous sortons de cet environnement agressif et nous arrivons au terminal.
Le lendemain matin nous partons à pieds de chez Javier et longeons la rambla jusqu'à la vieille ville.
Puis nous promenons dans la ville sous la pluie
le tarif "spécial étrangers", 3
Cette pratique est vraiment très énervante mais nous jouons le jeu à contrecœur, voyant qu'ils ont fait l'effort de traduire en anglais les informations décrivant les masques dans l'entrée du musée. Mais à peine entrés dans le musée, nous réalisons que les informations ne sont qu'en espagnol, l'anglais n'était qu'en façade !
Un peu plus tard, nous passons devant l'administration de l'état civil cible d'une manif (photo de gauche). En nous arretant devant le bâtiment, on peu lire sur le panneau à gauche (photo de droite) une indication amusante : "Mariages in extremis, hors des heures de bureau, contacter ce numéro de portable !"
Comme en Argentine, la tradition du churasco, la viande grillée est très forte. Nous nous arrêtons dans un marché où de succulentes viandes grillent au feu de bois (sur la photo derrière le comptoir).
Comme partout en Amérique du sud, on tombe partout sur coca cola. Mais ici, toute la ville est redécorée avec de vieilles affiches publicitaires.
Le soir, nous donnons un cours de salsa à Javier, puis il nous emmène dans une grande discothèque au milieu d'un parc, ouverte toute la nuit et qui joue de la salsa chaque mercredi.
Cliquez ici pour voir le diaporama de Montevideo