Nous quittons le Pérou pour la Bolivie. Nous avions prévu d'aller visiter le côté bolivien du lac Titicaca mais cette visite est remise à plus tard, dans l’immédiat nous fonçons à La Paz pour y retrouver Loïc car ne reste que jusqu’à vendredi (nous sommes mercredi).
Pour conclure ces deux mois et 4 jours passés au Pérou, voici une sélection d'images typiques et quelques réflexions.
03 novembre 2010
02 novembre 2010
Les iles d'Amantani et de Taquile
Libellés :
Peru


La légende dit que le premier inca, fils du soleil est né dans ce lac. Même si elles sont très touristiques les deux îles péruviennes : Amantani et Taquile conservent de très anciennes traditions et leurs habitants parlent le Quechua et l'Aymara, pas l'espagnol.
Le relief des deux îles est entièrement sculpté par les terrasses pré incas. Aujourd'hui, si l’agriculture reste une activité importante, la plupart de ces terrasses sont abandonnées.

La population de ces deux îles (respectivement 4000 et 3500 habitants) continue d'appliquer les lois incas : ne pas voler, ne pas mentir, ne pas être paresseux. (J'ajouterai que les deux premières lois ne valent pas vis à vis des touristes). Il n'y a pas de police mais une sorte de conseil qui fait autorité dans chaque village.
Un code vestimentaire strict montre le statut social de chacun : majeur, mineur, célibataire, marié, autorité de village (et ses enfants !) se distinguent par un bonnet et une ceinture spécifique.

Les femmes mécontentes peuvent se manifester en utilisant les gros pompons sur leur châle appelant ainsi le conseil du village à intervenir dans leurs problèmes.
Nous passons une nuit sur Amantani dans une famille. Le soir nous nous déguisons en péruviens pour aller danser avec les villageois sur de la musique typique.

Les danses sont très basiques mais c'est à la fois amusant et agréable de danser habillé ainsi car la nuit est très fraîche. En effet, on se croit au bord de la mer mais nous sommes sur un lac à 4000 mètres d'altitude !
Le relief des deux îles est entièrement sculpté par les terrasses pré incas. Aujourd'hui, si l’agriculture reste une activité importante, la plupart de ces terrasses sont abandonnées.
La population de ces deux îles (respectivement 4000 et 3500 habitants) continue d'appliquer les lois incas : ne pas voler, ne pas mentir, ne pas être paresseux. (J'ajouterai que les deux premières lois ne valent pas vis à vis des touristes). Il n'y a pas de police mais une sorte de conseil qui fait autorité dans chaque village.
Un code vestimentaire strict montre le statut social de chacun : majeur, mineur, célibataire, marié, autorité de village (et ses enfants !) se distinguent par un bonnet et une ceinture spécifique.
Les femmes mécontentes peuvent se manifester en utilisant les gros pompons sur leur châle appelant ainsi le conseil du village à intervenir dans leurs problèmes.
Nous passons une nuit sur Amantani dans une famille. Le soir nous nous déguisons en péruviens pour aller danser avec les villageois sur de la musique typique.
Les danses sont très basiques mais c'est à la fois amusant et agréable de danser habillé ainsi car la nuit est très fraîche. En effet, on se croit au bord de la mer mais nous sommes sur un lac à 4000 mètres d'altitude !
01 novembre 2010
Les îles flottantes
Nous visitons les fameuses îles flottantes sur lesquelles Esteban et Zia sont allés et où Tao a construit un mini sous-marin.

Aujourd'hui amarrées pour le tourisme elles ont autrefois permis à leurs habitants, les Uros d'échapper aux Incas et bien plus tard aux espagnols.
Tout est construit en totora (jonc tressé) : les maisons, les bateaux et l’île elle même sauf sa base qui est formée de racines de joncs pris dans de la terre.

Sur cette base, les Uros ajoutent régulièrement des couches de joncs. Les couches les plus anciennes finissent par se décomposer ce qui donne une étrange sensation molle sous les pieds. Pendant la saison sèche, on ajoute des couches de joncs verts tous les 15 jours pour limiter les risques d'incendies.
A notre arrivée, une petite fille nous invite dans sa maison et nous fait essayer des vêtements locaux.

Nous sommes bien surpris car pour une fois on ne nous demande pas d'argent, et nous achèterons deux cartes postales.
Aujourd'hui amarrées pour le tourisme elles ont autrefois permis à leurs habitants, les Uros d'échapper aux Incas et bien plus tard aux espagnols.
Tout est construit en totora (jonc tressé) : les maisons, les bateaux et l’île elle même sauf sa base qui est formée de racines de joncs pris dans de la terre.
Sur cette base, les Uros ajoutent régulièrement des couches de joncs. Les couches les plus anciennes finissent par se décomposer ce qui donne une étrange sensation molle sous les pieds. Pendant la saison sèche, on ajoute des couches de joncs verts tous les 15 jours pour limiter les risques d'incendies.
A notre arrivée, une petite fille nous invite dans sa maison et nous fait essayer des vêtements locaux.
Nous sommes bien surpris car pour une fois on ne nous demande pas d'argent, et nous achèterons deux cartes postales.
31 octobre 2010
Départ pour Puno
Libellés :
Peru


Nous partons ce matin pour Puno, notre dernière étape Péruvienne avant de rejoindre la Bolivie. Puno se trouve sur le bord du lac Titicaca. Des amis français nous ont dit que le paysage était très joli donc nous prenons un bus de jour. Nous nous y sommes pris à l'avance et nous avons réservé les sièges panoramiques, tout à l'avant du bus. C’est super confortable et très agréable !
Arrivés au terminal de bus de Puno nous sommes assaillis par les taxis, agents d'hôtels, tours opérateurs...
Nous nous informons sur les horaires et tarif de bus pour la Bolivie puis nous rencontrons Michaela qui travaille pour une agence.
Elle nous accompagne en taxi jusqu'à un hôtel qu'elle a choisi pour nous. La chambre est vraiment bien, nous payons moitié prix (30 soles) et nous avons plein d'ordinateurs avec internet à disposition.
Nous lui prenons également une excursion de 2 jours sur le lac Titicaca pour un prix honnête à la fois pour nous et pour la famille qui nous héberge (j'ai vérifié sur place). Nous payons 60 soles sur lesquels 35 reviennent à la famille. Cette excursion revient moins cher avec une agence qu'indépendamment.
Merci, donc à Michaela dont les prix sont très honnêtes et qui nous a fait gagner du temps. Elle ira même chercher nos tickets de bus sans commission.
Nous nous promenons en ville le jour d'haloween :
Arrivés au terminal de bus de Puno nous sommes assaillis par les taxis, agents d'hôtels, tours opérateurs...
Nous nous informons sur les horaires et tarif de bus pour la Bolivie puis nous rencontrons Michaela qui travaille pour une agence.
Elle nous accompagne en taxi jusqu'à un hôtel qu'elle a choisi pour nous. La chambre est vraiment bien, nous payons moitié prix (30 soles) et nous avons plein d'ordinateurs avec internet à disposition.
Nous lui prenons également une excursion de 2 jours sur le lac Titicaca pour un prix honnête à la fois pour nous et pour la famille qui nous héberge (j'ai vérifié sur place). Nous payons 60 soles sur lesquels 35 reviennent à la famille. Cette excursion revient moins cher avec une agence qu'indépendamment.
Merci, donc à Michaela dont les prix sont très honnêtes et qui nous a fait gagner du temps. Elle ira même chercher nos tickets de bus sans commission.
Nous nous promenons en ville le jour d'haloween :
28 octobre 2010
Le Machu Picchu
Nous nous levons à 4h et après un bon petit déjeuner préparé la veille, nous marchons à la lumière de nos lampes frontales vers le pont sur la rivière Urubamba qui ouvre à 5h (oui je sais, un pont avec des horaires d'ouvertures, c'est assez curieux mais ici on ne recule devant rien pour inciter les gens à consommer. Avec ces horaires les gens qui prennent le bus arrivent en haut les premiers ). De là commence l'ascension vers le Macchu Picchu. Notre objectif : arriver pour l'ouverture du site à 6h et si possible avant les premiers bus à 5h50.
Nous avons donc moins d'une heure pour gravir quelques 500m de dénivelé. Nous ne sommes pas les seuls, de nombreux visiteurs ont préféré cette ascension à l'option facile du bus (tarif spécial de 14$ A/R).
Nous commençons dans le noir à la lampe frontale, puis, rapidement le jour se lève. On distingue vaguement les montagnes cachées dans un épais brouillard, on ne sait pas trop vers quoi on se dirige.

Nous dépassons de nombreux groupes épuisés par la montée éprouvante. Arrivés vers la moitié, le brouillard se dissipe très légèrement comme pour nous récompenser de notre effort et on distingue clairement certains points de la vallée mais les montagnes restent un mystère.

Nous dépassons de nombreux groupes épuisés par la montée éprouvante. Arrivés vers la moitié, le brouillard se dissipe très légèrement comme pour nous récompenser de notre effort et on distingue clairement certains points de la vallée mais les montagnes restent un mystère.
La seconde partie de l'ascension est plus difficile et bientôt Vineta n'en peut plus. Le chemin est un escalier en pierre avec de hautes marches et les derniers mètres sont très difficiles malgré toute sa volonté et ses efforts. Pour moi la montée est assez facile, c'est à la descente que j'aurai plus de mal.
Nous arrivons au sommet juste avant l'ouverture. Les bus sont déjà là et la queue est impressionnante mais nous attendrons moins de 15 minutes pour entrer. Le temps de finir notre petit déjeuner et de nous inscrire pour le Wayna Picchu, le pic rocheux surplombant le Macchu Picchu. Là encore on accèdera au sommet en gravissant des escaliers incas en pente très raide. Il y a beaucoup d'accidents alors les entrées sont limitées à 400 personnes par jour réparties en 2 groupes : départ à 7h ou 10h. Nous nous inscrivons pour 7h afin d'avoir une vue sur le Macchu Picchu avant l'arrivée massive de touristes vers 10h.
Nous entrons enfin sur le site... toujours dans le brouillard ! Sans le savoir nous nous dirigeons vers l'un des plus beaux points de vue sur la ville et là, nous reposons un moment. Vineta est épuisée !
Le brouillard se dissipe très doucement et la mystérieuse ville inca se découvre progressivement.

Le spectacle est parfait, maintenant que nous sommes arrivés le rideau se lève et le show commence.
Le paysage semble irréel. Le brouillard laisse apparaître la cité perdue : d'innombrables constructions de pierre parfaitement dessinées sur un tapis de verdure fraîchement tondue. Le tout semble flotter au milieu des nuages.

Le travail de restauration est remarquable, on imagine l'état de la cité lorsqu'elle fut redécouverte en 1911 par l'historien Hiram Bingham : couverte d'une épaisse végétation, des pierres tombées un peu partout...
Soudain le brouillard s'écarte et laisse apparaître le cadre : de chaque côté des falaises qui tombent à pic sur la vallée, on avait presque oublié qu'on se trouvait au sommet d'une montagne !

Les incas étaient de grands constructeurs de terraces, quand ce n'était pas pour l'agriculture, elles servaient à éviter l'érosion et soutenir les constructions des niveaux supérieurs. En se promenant sur les dernières terraces, on a une impression vertigineuse et on imagine tous les efforts que les incas ont faits pour transformer un sommet de montagne hostile en espace constructible, bâtissant cette ville au plus proche de leur dieu, le soleil.
Le pic rocheux du Wayna Picchu apparaît majestueux, surplombant la ville.

Il est bientôt 7h et nous nous rapprochons du Wayna Picchu pour entamer cette nouvelle ascension d'environ 500m dès qu'on nous en donnera la permission. Bientôt, les portes s'ouvrent et laissent entrer les visiteurs au compte-goutte pour éviter les encombrements et les accidents trop fréquents. Nous faisons la queue et en profitons pour sécher aux premiers rayons du soleil nos t-shirts encore trempés de l'ascension.
30 minutes plus tard, notre tour arrive, nous signons le registre, la même procédure au retour permettra de lancer les recherches si quelqu'un ne revient pas.
L'ascension est délicate : un chemin escarpé puis des escaliers très raides en pierre. Mais Vineta a eu le temps de reprendre des forces et nous grimpons à bonne allure. Nous traversons un minuscule tunnel…

… et un peu plus tard arrivons au sommet

Nous escaladons le plus haut rocher et nous installons là pour déjeuner. Le brouillard fini de se dissiper, il fait beau et le ciel est parfaitement dégagé ! La vue est impressionnante, sur le Macchu Picchu bien sûr, mais aussi tout autour, sur la vallée et les montagnes. Nous avons beaucoup de chance. Rémi (lien vers son blog), qui était là la semaine dernière a eu de la pluie et des nuages.

Voici une vidéo de la vue que nous avons depuis ce point :
Vers 10h nous commençons la descente alors que des hordes impressionnantes de touristes apparaissent au loin parmi les ruines.
Nous nous baladons un peu dans les ruines. On voit bien comment les incas intégraient dans leur architecture les plus gros rochers :

Les jardiniers du Macchu Picchu sont des lamas. Ils sont d'une agilité surprenante et peuvent sauter d'une terrace à une autre pour aller y brouter l'herbe.

Nous complétons notre journée par une visite guidée du site avant de redescendre à pieds jusqu'à la rivière indiquée sur cette photo.

Puis nous avons 2h de marche comme à l'aller dans la petite jungle le long de la voie ferrée.

Nostalgiques de l'Amazonie, nous avons droit à une brève pluie tropicale chaude avec beaucoup de vent. Nous croisons deux trains bloqués par des chutes d'arbres.

Nous arrivons finalement à Cusco à 1h du matin, épuisés après une magnifique journée.
Cliquez ici pour voir le diaporama du Machu Picchu
Nous avons donc moins d'une heure pour gravir quelques 500m de dénivelé. Nous ne sommes pas les seuls, de nombreux visiteurs ont préféré cette ascension à l'option facile du bus (tarif spécial de 14$ A/R).
Nous commençons dans le noir à la lampe frontale, puis, rapidement le jour se lève. On distingue vaguement les montagnes cachées dans un épais brouillard, on ne sait pas trop vers quoi on se dirige.
Nous dépassons de nombreux groupes épuisés par la montée éprouvante. Arrivés vers la moitié, le brouillard se dissipe très légèrement comme pour nous récompenser de notre effort et on distingue clairement certains points de la vallée mais les montagnes restent un mystère.
Nous dépassons de nombreux groupes épuisés par la montée éprouvante. Arrivés vers la moitié, le brouillard se dissipe très légèrement comme pour nous récompenser de notre effort et on distingue clairement certains points de la vallée mais les montagnes restent un mystère.
La seconde partie de l'ascension est plus difficile et bientôt Vineta n'en peut plus. Le chemin est un escalier en pierre avec de hautes marches et les derniers mètres sont très difficiles malgré toute sa volonté et ses efforts. Pour moi la montée est assez facile, c'est à la descente que j'aurai plus de mal.
Nous arrivons au sommet juste avant l'ouverture. Les bus sont déjà là et la queue est impressionnante mais nous attendrons moins de 15 minutes pour entrer. Le temps de finir notre petit déjeuner et de nous inscrire pour le Wayna Picchu, le pic rocheux surplombant le Macchu Picchu. Là encore on accèdera au sommet en gravissant des escaliers incas en pente très raide. Il y a beaucoup d'accidents alors les entrées sont limitées à 400 personnes par jour réparties en 2 groupes : départ à 7h ou 10h. Nous nous inscrivons pour 7h afin d'avoir une vue sur le Macchu Picchu avant l'arrivée massive de touristes vers 10h.
Nous entrons enfin sur le site... toujours dans le brouillard ! Sans le savoir nous nous dirigeons vers l'un des plus beaux points de vue sur la ville et là, nous reposons un moment. Vineta est épuisée !
Le brouillard se dissipe très doucement et la mystérieuse ville inca se découvre progressivement.
Le spectacle est parfait, maintenant que nous sommes arrivés le rideau se lève et le show commence.
Le paysage semble irréel. Le brouillard laisse apparaître la cité perdue : d'innombrables constructions de pierre parfaitement dessinées sur un tapis de verdure fraîchement tondue. Le tout semble flotter au milieu des nuages.
Le travail de restauration est remarquable, on imagine l'état de la cité lorsqu'elle fut redécouverte en 1911 par l'historien Hiram Bingham : couverte d'une épaisse végétation, des pierres tombées un peu partout...
Soudain le brouillard s'écarte et laisse apparaître le cadre : de chaque côté des falaises qui tombent à pic sur la vallée, on avait presque oublié qu'on se trouvait au sommet d'une montagne !
Les incas étaient de grands constructeurs de terraces, quand ce n'était pas pour l'agriculture, elles servaient à éviter l'érosion et soutenir les constructions des niveaux supérieurs. En se promenant sur les dernières terraces, on a une impression vertigineuse et on imagine tous les efforts que les incas ont faits pour transformer un sommet de montagne hostile en espace constructible, bâtissant cette ville au plus proche de leur dieu, le soleil.
Le pic rocheux du Wayna Picchu apparaît majestueux, surplombant la ville.
Il est bientôt 7h et nous nous rapprochons du Wayna Picchu pour entamer cette nouvelle ascension d'environ 500m dès qu'on nous en donnera la permission. Bientôt, les portes s'ouvrent et laissent entrer les visiteurs au compte-goutte pour éviter les encombrements et les accidents trop fréquents. Nous faisons la queue et en profitons pour sécher aux premiers rayons du soleil nos t-shirts encore trempés de l'ascension.
30 minutes plus tard, notre tour arrive, nous signons le registre, la même procédure au retour permettra de lancer les recherches si quelqu'un ne revient pas.
L'ascension est délicate : un chemin escarpé puis des escaliers très raides en pierre. Mais Vineta a eu le temps de reprendre des forces et nous grimpons à bonne allure. Nous traversons un minuscule tunnel…
… et un peu plus tard arrivons au sommet
Nous escaladons le plus haut rocher et nous installons là pour déjeuner. Le brouillard fini de se dissiper, il fait beau et le ciel est parfaitement dégagé ! La vue est impressionnante, sur le Macchu Picchu bien sûr, mais aussi tout autour, sur la vallée et les montagnes. Nous avons beaucoup de chance. Rémi (lien vers son blog), qui était là la semaine dernière a eu de la pluie et des nuages.
Voici une vidéo de la vue que nous avons depuis ce point :
Vers 10h nous commençons la descente alors que des hordes impressionnantes de touristes apparaissent au loin parmi les ruines.
Nous nous baladons un peu dans les ruines. On voit bien comment les incas intégraient dans leur architecture les plus gros rochers :
Les jardiniers du Macchu Picchu sont des lamas. Ils sont d'une agilité surprenante et peuvent sauter d'une terrace à une autre pour aller y brouter l'herbe.
Nous complétons notre journée par une visite guidée du site avant de redescendre à pieds jusqu'à la rivière indiquée sur cette photo.
Puis nous avons 2h de marche comme à l'aller dans la petite jungle le long de la voie ferrée.
Nostalgiques de l'Amazonie, nous avons droit à une brève pluie tropicale chaude avec beaucoup de vent. Nous croisons deux trains bloqués par des chutes d'arbres.
Nous arrivons finalement à Cusco à 1h du matin, épuisés après une magnifique journée.
Cliquez ici pour voir le diaporama du Machu Picchu
Inscription à :
Articles (Atom)