Le lendemain nous partons de bonne heure pour la ville voisine de Suwon connue pour sa forteresse que je souhaitais visiter. Les fortifications entourent un large quartier de la ville. Elles ont été bien restaurées et aménagées en une agréable promenade avec de petits espaces verts où les gens peuvent pique-niquer en pleine ville. Il reste quelques grandes portes en très bon état et c’est au pied de l’une d’elles que commence le festival.
La Corée est connue pour ses tambours et nous avons une belle démonstration par un groupe exclusivement féminin. Ensuite une petite démonstration de Capoeira avant le début de la parade.
Il s’agit d’une sorte de reconstitution historique : des hommes en armure font leur entrée et simulent une bataille.
Puis la longue parade royale commence. Des milliers de figurants participent à l’évènement.
Au milieu le roi et sa cour, précédés et suivis par des gardes, des cavaliers, des musiciens, etc… A la suite du roi sa mère et ses sœurs arrivent en chaise à porteurs avec leur escorte.
Cela dure plusieurs heures, des présentateurs expliquent la scène en anglais et en coréen. De nombreux journalistes et photographes couvrent l’évènement.
Partout où nous allons les coréens sont très fiers de leurs festivals, et ce mois ci il y en a presque un par jour !
La parade royale est suivie par tout et n’importe quoi : motos, voitures, ado déguisés en personnages de mangas… Comme dans chaque évènement la fanfare traditionnelle est là.
Nous visitons les murailles puis grimpons au sommet de la colline où se trouvent les tours de guet et une énorme cloche que l’on peut faire sonner pour 2000wons (un peu plus d’un euro).
Nous terminons notre visite avec le palais qui abrite une sorte de petit musée.
Puis nous rentrons en ville pour assister à un autre festival : celui du feu d’artifice.
Cette année la Corée a invité le Japon et le Portugal à présenter leurs créations. Nous allons assister à plus de 2h de feux d’artifices ininterrompus sur le fleuve.
Lorsque nous sortons de l’une des 3 stations de métros à proximité de l’évènement, nous sommes pris dans un épais flot humain. Nous achetons en passant des boulettes de riz dans des algues et du thé et suivons la foule. Nous marchons ainsi une vingtaines de minutes. La foule est de plus en plus dense. Nous trouvons difficilement une petite place sur une colline noire de monde au bord au bord du fleuve. On dirait que tout Séoul est venu assister au spectacle. Marion nous a raconté que l’année précédente ses amies ont du dormir sur place tellement les transports en communs étaient saturés pour le retour !
Le festival commence avec un impressionnant feu d’artifice japonais synchronisé sur de la musique et avec la ville de Séoul en arrière plan, c’est spectaculaire !
Vient ensuite le spectacle du Portugal, moins grand mais avec de beaux effets calés sur la musique. Si ce spectacle parait un peu minable ici, dites vous qu’en comparaison celui du 14 juillet à Paris fait vraiment amateur !
La Corée conclu par un spectacle époustouflant ! Ce n’est plus un feu d’artifice, ca devient complètement délirant. En introduction de puissants jets d’eau créent un rideau de vapeur au milieu du fleuve sur lequel est projeté un écran géant pour présenter l’évènement (les coréens utilisent beaucoup ce système).
Le feu d’artifice commence sur un remix de Carmina Burana pendant que la ville est illuminée par de puissants lasers verts et des projecteurs. On dirait qu’une dizaine de péniches ont été installées au milieu du fleuve pour lancer les fusées. Tout le ciel est illuminé, l’amplitude et la densité des feux est réellement impressionnante. Le spectacle est incroyable. Après un moment nous sommes survolés par de grands oiseaux lumineux qui s’embrasent brusquement lançant des feux d’artifices.
A la fin du spectacle c’est le pont tout entier qui s’illumine d’un seul coup comme s’il prenait feu en dégageant lumière et fumée donnant encore plus de relief au feu spectacle. La foule est enthousiaste, les gens crient, le spectacle est un grand succès.
Nous repartons réellement impressionnés avec une nouvelle définition pour « feu d’artifice ».
08 octobre 2011
06 octobre 2011
Retour à Séoul et festival des herbes médicinales de Yangnyeongsi
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Nous rentrons à Séoul pour assister à deux jours de festival. Nous avons laissé le gros de nos affaires chez Tak pour voyager légers. Grâce à lui nous nous sentons un peu chez nous à Séoul, il nous a même donné une clé de son appartement. Tak nous retrouve dans la soirée et nous allons diner tous les trois.
Le lendemain nous partons de bonne heure pour assister au festival des herbes médicinales de Yangnyeongsi, à Séoul. Tout le quartier semble dédié à la médecine naturelle : les étalages des boutiques présentent tous de gros sacs remplis de plantes séchées, racines et autres petits morceaux de bois. Nous voyons également de grands bocaux dans lesquels baignent du gingembre et d’autres produits. Beaucoup de boutiques contiennent les mêmes grosses sortes de marmites industrielles que nous voyons pour la première fois.
Toutes sortes de stands ont été installés dans la rue principale. Nous passons devant un grand stand où les gens sont assis par terre, occupés à découper des plantes et des morceaux de bois. Un peu plus loin nous goutons le ginseng rouge, spécialité locale et plusieurs thés. Il y a même du maté !
Un stand vend de petits appareils anti douleur : cela ressemble à des pastilles rondes que l’on place sur une partie du corps : avec un simple élastique pour le doigt ou une ceinture pour le dos.
D’autres appareils ressemblent à du papier bulle rempli d’un liquide chaud. On nous met cela sur les épaules, c’est plutôt agréable.
On trouve également des fruits locaux similaires aux abricots séchés et de nombreux autres produits.
Une sorte de fanfare traditionnelle passe joyeusement.
A midi nous allons dans un autre quartier louer un téléphone coréen à moitié prix grâce à un coupon trouvé sur le site de visit korea. En effet les coréens sont malins, leurs puces de téléphone mobiles sont incompatibles avec les autres appareils, ce qui nous oblige à en louer un.
En début d’après midi nous retournons au marché pour assister à une cérémonie traditionnelle. Une estrade a été montée et nous trouvons deux sièges libres mais surprise, au lieu du rituel attendu ce sont des groupes de pop coréenne qui enchainent leurs numéros. Généralement un ou une chanteuse est au premier plan, et juste derrière un groupe de jolies filles danse une chorégraphie de groupe pas très intéressante et très répétitive. Je crois que c’est ce qu’on appelle la K-pop. Nous apprendrons plus tard que nous avons vu des célébrités !
Retour à la maison, diner très sympathique avec Tak puis nous allons dormir chez Marion.
Le lendemain nous partons de bonne heure pour assister au festival des herbes médicinales de Yangnyeongsi, à Séoul. Tout le quartier semble dédié à la médecine naturelle : les étalages des boutiques présentent tous de gros sacs remplis de plantes séchées, racines et autres petits morceaux de bois. Nous voyons également de grands bocaux dans lesquels baignent du gingembre et d’autres produits. Beaucoup de boutiques contiennent les mêmes grosses sortes de marmites industrielles que nous voyons pour la première fois.
Toutes sortes de stands ont été installés dans la rue principale. Nous passons devant un grand stand où les gens sont assis par terre, occupés à découper des plantes et des morceaux de bois. Un peu plus loin nous goutons le ginseng rouge, spécialité locale et plusieurs thés. Il y a même du maté !
Un stand vend de petits appareils anti douleur : cela ressemble à des pastilles rondes que l’on place sur une partie du corps : avec un simple élastique pour le doigt ou une ceinture pour le dos.
D’autres appareils ressemblent à du papier bulle rempli d’un liquide chaud. On nous met cela sur les épaules, c’est plutôt agréable.
On trouve également des fruits locaux similaires aux abricots séchés et de nombreux autres produits.
Une sorte de fanfare traditionnelle passe joyeusement.
A midi nous allons dans un autre quartier louer un téléphone coréen à moitié prix grâce à un coupon trouvé sur le site de visit korea. En effet les coréens sont malins, leurs puces de téléphone mobiles sont incompatibles avec les autres appareils, ce qui nous oblige à en louer un.
En début d’après midi nous retournons au marché pour assister à une cérémonie traditionnelle. Une estrade a été montée et nous trouvons deux sièges libres mais surprise, au lieu du rituel attendu ce sont des groupes de pop coréenne qui enchainent leurs numéros. Généralement un ou une chanteuse est au premier plan, et juste derrière un groupe de jolies filles danse une chorégraphie de groupe pas très intéressante et très répétitive. Je crois que c’est ce qu’on appelle la K-pop. Nous apprendrons plus tard que nous avons vu des célébrités !
Retour à la maison, diner très sympathique avec Tak puis nous allons dormir chez Marion.
04 octobre 2011
Jeonju et le village folklorique Hanok, festival de la voix (Sori)
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Nous partons de bonne heure pour la ville de Jeonju avec un bus gratuit réservé aux étrangers. Ce système que nous avons découvert grâce à Tak est sensé inciter les étrangers à sortir de Séoul. Le bus est extrêmement confortable.
Nous arrivons à 11h au village folklorique Hanok qui est en réalité un quartier très touristique de la ville de Jeonju. Ce qui fait le charme du village ce sont ses maisons traditionnelles en bois et leur joli toit typique. Dans le centre elles abritent des musées ou des boutiques d’artisanat. Mais dès qu’on s’éloigne un peu on arrive dans la partie résidentielle. Et là c’est très amusant car on trouve les mêmes maisons traditionelles sauf que pour plus de confort, les habitants ont construit des murs en brique autours de la maison et ont prolongé les joli toits par de la vilaine tôle ondulée !
Nous avons choisi cette date car c’est le dernier jour du festival Sori (festival de la voix) et nous avons la chance d’assister à un spectacle de chant, théâtre, musique gratuit. Regardez la vidéo !
Nous logeons chez Tom, un américain vraiment sympathique qui enseigne à l’université de Jeonju. Il réside dans un appartement de l’université plutôt luxueux, réservé aux étrangers. Le soir il nous invite dans un restaurant de champignons où nous dégustons un chabu-chabu de champignons cultivés sur place et coupés devant nous. Succulent diner très original, merci Tom !
Plus tard Tom et ses amis se réunissent pour étudier la bible puis passent la soirée à jouer aux cartes et à des jeux de société. Nous le rejoignons pour la seconde partie de soirée et il nous apprend à jouer au jeu japonais de fleurs.
Nous visitons le parc au lotus de Jeonju (ce n'est malheureusement pas la saison), retournons au village Hanok et jeudi, rentrons à Séoul avec le même bus gratuit.
Nous arrivons à 11h au village folklorique Hanok qui est en réalité un quartier très touristique de la ville de Jeonju. Ce qui fait le charme du village ce sont ses maisons traditionnelles en bois et leur joli toit typique. Dans le centre elles abritent des musées ou des boutiques d’artisanat. Mais dès qu’on s’éloigne un peu on arrive dans la partie résidentielle. Et là c’est très amusant car on trouve les mêmes maisons traditionelles sauf que pour plus de confort, les habitants ont construit des murs en brique autours de la maison et ont prolongé les joli toits par de la vilaine tôle ondulée !
Nous avons choisi cette date car c’est le dernier jour du festival Sori (festival de la voix) et nous avons la chance d’assister à un spectacle de chant, théâtre, musique gratuit. Regardez la vidéo !
Nous logeons chez Tom, un américain vraiment sympathique qui enseigne à l’université de Jeonju. Il réside dans un appartement de l’université plutôt luxueux, réservé aux étrangers. Le soir il nous invite dans un restaurant de champignons où nous dégustons un chabu-chabu de champignons cultivés sur place et coupés devant nous. Succulent diner très original, merci Tom !
Plus tard Tom et ses amis se réunissent pour étudier la bible puis passent la soirée à jouer aux cartes et à des jeux de société. Nous le rejoignons pour la seconde partie de soirée et il nous apprend à jouer au jeu japonais de fleurs.
Nous visitons le parc au lotus de Jeonju (ce n'est malheureusement pas la saison), retournons au village Hanok et jeudi, rentrons à Séoul avec le même bus gratuit.
03 octobre 2011
Séoul, Corée du sud
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Nous passons plusieurs jours vraiment très agréables avec Tak qui nous fait découvrir toutes sortes de restaurants coréens (à Séoul cela coute plus cher de cuisiner que de manger dehors). Nous nous promenons dans différents quartiers et j’achète une caméra vidéo d’occasion pour compléter mon appareil photo dont le rendu vidéo est très mauvais à faible lumière.
30 septembre 2011
La salsa en Corée du sud
Marion nous fait découvrir les soirées salsa de Séoul. Nous nous arrêtons en chemin pour acheter un café et des ‘sandwichs’ (en réalité des makis coréens) à emporter. Nous arrivons bientôt au club où a lieu la soirée et c’est bien la première fois qu’on me laisse rentrer avec de la nourriture et surtout une boisson !
Je m’installe donc sur un tabouret au bar et, tout en mangeant, j’observe avec le plus grand intérêt le club et la piste de danse. Il y a bien un bar qui vend des boissons mais il y a aussi à coté une fontaine qui distribue de l’eau de source gratuitement !
La piste est pleine et tout le monde sans exception danse le style de salsa New Yorkais d’Eddie Torres. Les danseurs sont bien calés sur le rythme, ils sont plutôt bons techniquement mais j’ai l’étrange sensation que personne ne se démarque des autres danseurs. C’est un peu comme si tout le monde dansait de la même façon, du débutant au plus avancé. Et en effet tous dansent d’une façon très scolaire, ils enchainent les figures sans musicalité et sans originalité. Personne ne se démarque en tentant des figures plus ambitieuses ou avec un jeu d’expression personnel.
Le DJ passe quelques bons morceaux mais également de longues chansons toutes plates et monotones. Parfois la salsa laisse la place à des chorégraphies de groupes. Lorsque le DJ passe un chacha, c’est la catastrophe, tout le monde perd le rythme. Quant à la Bachata, elle est dansée comme un zouk… sans mouvements du bassin !
Nous restons jusqu’à la fin de la soirée et nous amusons beaucoup. Le lendemain nous ressortons et cela confirme mes premières observations !
Le lendemain plusieurs personnes intéressées par la danse me contactent sur internet. Ainsi nous rencontrons Tak, un jeune coréen qui parle parfaitement anglais. Il est étudiant en finance et prépare un CFA. Nous nous entendons immédiatement très bien, il est vraiment sympathique, drôle et nous apprend énormément de choses sur la culture coréenne. Le soir nous déménageons chez lui.
Tak souhaite prendre des cours de danse et nous emmène au second étage de son immeuble où se trouve une gigantesque école de danses de salon. Lorsque nous arrivons deux messieurs sont en train de répéter des pas de valse. Leur position est vraiment très étrange et leurs mouvements sont tout sauf naturels. L’un d’entre eux porte un étrange appareil qui lui maintient les épaules en arrière et les bras en position ouverte. Malgré cela on ne l’imagine absolument pas avec une danseuse dans les bras. C’est vraiment très étrange et totalement asiatiques. Cette scène semble tout droit sortie de la version originale du film japonais « Shall we dance » (dont Richard Gere a joué dans un remake américain).
Je suppose que c’est tout aussi amusant pour certains de nous voir apprendre les danses afro-cubaines…
Le manager de l’école nous accueille chaleureusement et nous offre un café nous proposant de faire une démonstration de salsa. Tak s’inscrit et il prendra son premier cours le soir même !
Le lendemain nous lui donnerons un premier cours de salsa et le soir il nous accompagne danser avec Marion. Dans le club de salsa, lorsque Vineta l'invite à danser, Tak se lève, pose son iphone dernière génération sur le tabouret où il était assis (il ne voudrait pas perdre son siège) et s'en va à l'autre bout de la piste. Ici, comme au Japon cette situation est parfaitement normale car les gens ne volent pas !!
Je m’installe donc sur un tabouret au bar et, tout en mangeant, j’observe avec le plus grand intérêt le club et la piste de danse. Il y a bien un bar qui vend des boissons mais il y a aussi à coté une fontaine qui distribue de l’eau de source gratuitement !
La piste est pleine et tout le monde sans exception danse le style de salsa New Yorkais d’Eddie Torres. Les danseurs sont bien calés sur le rythme, ils sont plutôt bons techniquement mais j’ai l’étrange sensation que personne ne se démarque des autres danseurs. C’est un peu comme si tout le monde dansait de la même façon, du débutant au plus avancé. Et en effet tous dansent d’une façon très scolaire, ils enchainent les figures sans musicalité et sans originalité. Personne ne se démarque en tentant des figures plus ambitieuses ou avec un jeu d’expression personnel.
Le DJ passe quelques bons morceaux mais également de longues chansons toutes plates et monotones. Parfois la salsa laisse la place à des chorégraphies de groupes. Lorsque le DJ passe un chacha, c’est la catastrophe, tout le monde perd le rythme. Quant à la Bachata, elle est dansée comme un zouk… sans mouvements du bassin !
Nous restons jusqu’à la fin de la soirée et nous amusons beaucoup. Le lendemain nous ressortons et cela confirme mes premières observations !
Le lendemain plusieurs personnes intéressées par la danse me contactent sur internet. Ainsi nous rencontrons Tak, un jeune coréen qui parle parfaitement anglais. Il est étudiant en finance et prépare un CFA. Nous nous entendons immédiatement très bien, il est vraiment sympathique, drôle et nous apprend énormément de choses sur la culture coréenne. Le soir nous déménageons chez lui.
Tak souhaite prendre des cours de danse et nous emmène au second étage de son immeuble où se trouve une gigantesque école de danses de salon. Lorsque nous arrivons deux messieurs sont en train de répéter des pas de valse. Leur position est vraiment très étrange et leurs mouvements sont tout sauf naturels. L’un d’entre eux porte un étrange appareil qui lui maintient les épaules en arrière et les bras en position ouverte. Malgré cela on ne l’imagine absolument pas avec une danseuse dans les bras. C’est vraiment très étrange et totalement asiatiques. Cette scène semble tout droit sortie de la version originale du film japonais « Shall we dance » (dont Richard Gere a joué dans un remake américain).
Je suppose que c’est tout aussi amusant pour certains de nous voir apprendre les danses afro-cubaines…
Le manager de l’école nous accueille chaleureusement et nous offre un café nous proposant de faire une démonstration de salsa. Tak s’inscrit et il prendra son premier cours le soir même !
Le lendemain nous lui donnerons un premier cours de salsa et le soir il nous accompagne danser avec Marion. Dans le club de salsa, lorsque Vineta l'invite à danser, Tak se lève, pose son iphone dernière génération sur le tabouret où il était assis (il ne voudrait pas perdre son siège) et s'en va à l'autre bout de la piste. Ici, comme au Japon cette situation est parfaitement normale car les gens ne volent pas !!
29 septembre 2011
Arrivée en Asie (Séoul, Corée du sud).
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Nos aventures en Amérique latine sont terminées ! Nous venons d'arriver en Asie après avoir traversé le Pacifique. Nous avons déjà parcouru plus de la moitié du tour du globe et désormais le chemin le plus court pour rentrer à la maison va vers l'ouest et non plus vers l'est !
Nous sommes en Corée du sud et nous ne savons plus lire, ni parler ! Cela fait tout drôle après un an passé en Amérique où nous étions capables de communiquer sur tout le continent que ce soit en espagnol, portugais ou anglais.
De l’aéroport, nous suivons les indications de notre hôte, Marion jusqu’au point de rendez-vous. Là, nous trouvons un réseau wifi pour l’appeler avec skype. Elle arrive rapidement et nous conduit directement dans un restaurant.
Après s’être déchaussés nous nous installons autour d’une table basse et on nous apporte une multitude de petites assiettes contenant des aliments colorés et épicés. Ce diner nous semble extraordinaire tellement les saveurs sont variées surprenantes. En réalité c’est le repas typique coréen composé d’un plat accompagné d’une multitude de « side dishes ». C’est bon et économique (5€) mais très épicé.
Marion est américaine, elle est arrivée un peu par hasard en Corée il y a 3 ans pour enseigner l’anglais. La langue et la culture lui plaisent beaucoup, elle se débrouille plutôt bien en coréen et elle a l’air d’être bien intégrée dans son quartier. Désormais elle voit sa vie ici, son petit ami Coréen et ils envisagent de se marier.
Nous passons les jours suivants à essayer en vain d’obtenir des visas pour la Chine auprès des agences puis directement au consulat de Chine. Malheureusement c’est impossible à moins d’être résident en Corée ou bien d’avoir déjà été en Chine.
Nous devons finalement renoncer et abandonner nos billets d’avion pour Pékin. Mais bientôt, grâce à Marion, nous trouvons une nouvelle opportunité sur AirAsia : des billets pour la Malaisie à 40€ au lieu de 400€ !
Par contre ces tarifs ne sont disponibles qu’à certaines dates si bien que nous prolongeons de 2 semaines notre séjour en Corée ! Si la Malaisie est un pays très bon marché ce n’est pas le cas de la Corée, nous devons donc faire très attention. En nous organisons bien nous sommes partout logés gratuitement. Les repas coutent en moyenne 5€, il y a beaucoup d’activités gratuites, et les transports sont bon marché.
Voici la vidéo de nos premières semaines en Corée
Nous sommes en Corée du sud et nous ne savons plus lire, ni parler ! Cela fait tout drôle après un an passé en Amérique où nous étions capables de communiquer sur tout le continent que ce soit en espagnol, portugais ou anglais.
De l’aéroport, nous suivons les indications de notre hôte, Marion jusqu’au point de rendez-vous. Là, nous trouvons un réseau wifi pour l’appeler avec skype. Elle arrive rapidement et nous conduit directement dans un restaurant.
Après s’être déchaussés nous nous installons autour d’une table basse et on nous apporte une multitude de petites assiettes contenant des aliments colorés et épicés. Ce diner nous semble extraordinaire tellement les saveurs sont variées surprenantes. En réalité c’est le repas typique coréen composé d’un plat accompagné d’une multitude de « side dishes ». C’est bon et économique (5€) mais très épicé.
Marion est américaine, elle est arrivée un peu par hasard en Corée il y a 3 ans pour enseigner l’anglais. La langue et la culture lui plaisent beaucoup, elle se débrouille plutôt bien en coréen et elle a l’air d’être bien intégrée dans son quartier. Désormais elle voit sa vie ici, son petit ami Coréen et ils envisagent de se marier.
Nous passons les jours suivants à essayer en vain d’obtenir des visas pour la Chine auprès des agences puis directement au consulat de Chine. Malheureusement c’est impossible à moins d’être résident en Corée ou bien d’avoir déjà été en Chine.
Nous devons finalement renoncer et abandonner nos billets d’avion pour Pékin. Mais bientôt, grâce à Marion, nous trouvons une nouvelle opportunité sur AirAsia : des billets pour la Malaisie à 40€ au lieu de 400€ !
Par contre ces tarifs ne sont disponibles qu’à certaines dates si bien que nous prolongeons de 2 semaines notre séjour en Corée ! Si la Malaisie est un pays très bon marché ce n’est pas le cas de la Corée, nous devons donc faire très attention. En nous organisons bien nous sommes partout logés gratuitement. Les repas coutent en moyenne 5€, il y a beaucoup d’activités gratuites, et les transports sont bon marché.
Voici la vidéo de nos premières semaines en Corée
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