10 décembre 2010

Une étape pour rien !

Nous nous arrêtons à La Rioja car dans les environs se trouvent deux sites classés par l'UNESCO : la vallée de la lune (une 3ème) et surtout le parc national d'Ischigualasto. Nous arrivons très tard : passé 2h du matin. Le prochain bus pour le parc national part le lendemain à 7h, nous devons donc trouver un lieu pour dormir.
Le lonely planet indique un seul camping en ville. Nous prenons un taxi, d'après le bureau d'information du terminal nous devrions en avoir pour 12 pesos. Mais lorsque nous arrivons au camping, il est fermé. Nous en cherchons un autre en vain. Arrivés à 50 pesos au compteur, nous nous arrêtons devant un club de foot où des jeunes sont en train de faire la fête. Je vais leur parler et, très accueillants, ils nous invitent à boire avec eux et nous laissent planter la tente sur le terrain de foot.
Nous nous couchons épuisés et dormons à peine car il fait une chaleur étouffante.
Lorsque nous repartons à 6h, nous croisons les derniers fêtards. Nous arrivons bientôt au terminal de bus, mais là, mauvaise surprise : tous les bus du matin pour Punta Union sont complets. Ayant dormi moins de 3h nous n’avons pas envie d’attendre au terminal le prochain bus qui ne part qu’à 12h30. D’autant plus que cela signifie attendre encore une journée pour visiter le parc. Nous décidons donc de reprendre notre route vers le sud, tant pis pour le parc !
Nous prenons le premier bus pour Mendoza, ce qui revient au même que si nous étions restés dans le bus la veille, sauf que nous aurions bien dormi et serions déjà en train d'arriver. D'un autre côté, si nous restons nous perdons encore un jour de transport et d’attente et comme il fait vraiment très chaud, pas de regrets !

09 décembre 2010

Cafayate !

Le lendemain le réveil sonne à 5h30 et, très fatigués, nous prenons le bus pour Cafayate. Nous luttons contre le sommeil car la route est superbe mais la fatigue nous emporte. La spécialité de Cafayate est la production de vin, on peut visiter gratuitement la plupart des bodegas et déguster le vin.
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Nous allons tous les 4 au camping "Fuerza y Luz" dont les propriétaires sont vraiment sympa et qui est le seul à proposer à la fois camping (pour nous) et dortoirs (pour Justine). Ayant laissé nos sacs dans la chambre de Justine, nous repartons aussitôt en ville pour prendre le petit déjeuner.
Un peu fatigués mais après avoir repris des forces en mangeant nous décidons de faire une grande balade en vélo jusqu’au soir. Nous faisons les courses pour un pique nique et louons des vélos.
Nous commençons par visiter quelques bodegas.

A 13h30, nous prenons le bus (avec les vélos) direction la Gargantua del diablo.
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50km plus loin, nous descendons près d'une immense caverne sculptée dans la roche ocre par la pluie.
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C'est spectaculaire ! Nous grimpons à l'intérieur et pique-niquons là. Un peu plus tard, sous un soleil de plomb, nous repartons en vélo sur une route magnifique mais longue de plus de 50km !
Nous visitons une autre caverne : l’amphithéâtre.
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Un étrange rocher en forme de crapaud
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Un autre avec une silhouette de visage
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Toujours des paysages magnifiques
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Des collines de toutes les couleurs
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Généralement arides mais parfois vertes :
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Finalement, nous arrivons épuisés en ville vers 20h. Nous rendons les vélos, faisons quelques courses pour un nouveau barbecue et rentrons au camping. Nous passons une dernière bonne soirée ensemble avant de nous séparons : Pierre part le soir même pour Mendoza, Justine le lendemain matin pour Ruinas de Quilmes. Quant à nous, nous prendrons la direction du sud.
Le lendemain un premier bus nous emmène à Tucuman, ville historique où l'acte d'indépendance du pays a été signé, mais à part cela peu intéressante à visiter. Arrivés là nous trouvons immédiatement un autre bus qui nous emmène bien plus au sud jusqu'à la ville de La Rioja où nous arrivons après 2h du matin.

08 décembre 2010

En route pour Cafayate !

Le lendemain matin nous reprenons un bus pour le village de Molinos et de là il n'y a plus de liaison en bus, la route 40 (qui fait plus de 4000km de long) devient ici une piste. Nous nous arrêtons au bord de la route pour faire du stop.
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Il fait très chaud et la piste est très peu fréquentée. Au bout d'une heure nous sommes rejoints par deux français rencontrés la veille : Justine et Pierre ainsi qu'une Belge, Katrine.

Pendant l'heure suivante, seulement 4 ou 5 véhicules passeront. Finalement une voiture de police s'arrête, par chance c'est un pick-up. Il accepte de nous prendre à l’arrière (alors que c’est interdit !), nous chargeons les gros sacs et grimpons tous les 5 derrière.
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Nous tenons à peine avec tous les bagages et la voiture roule très vite sur la piste caillouteuse et poussiéreuse. Vidéo :

Le paysage est magnifique mais lorsque nous arrivons au village d'Angastaco nous sommes "complètement brassés" comme dit Justine.
Pas de chance, le bus pour Calafate est parti 10 minutes plus tôt. Nous tentons à nouveau le stop mais quasiment aucun véhicule ne passe et à 19h, après 1h30 de patience, seule Katrine, la belge est montée dans une voiture.

Alors que nous partons à pied vers le village un véhicule s'arrête spontanément pour nous y emmener, nous évitant 2 petits km de marche.
Le village est désert, tout le monde est à l'église car ce soir c'est la fête ! Nous nous installons tous les 4 dans un dortoir au camping municipal et décidons de faire un barbecue. C'est la spécialité nationale argentine et tous les campings en sont équipés. On nous indique une boucherie et, à 21h, nous frappons à la porte. Toute la famille nous accueille gentiment et le boucher est ravi de nous servir et de nous conseiller. Il découpe la viande avec une grande scie verticale fixe. Ses mains passent juste à côte sans aucune protection et ça me parait vraiment dangereux. Nous achetons du vin rouge local et passons une excellente soirée rejoints par une jeune allemande du camping.
Nous allumons le barbecue au feu de bois
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En fin de soirée nous allons faire un rapide tour à la fête où des enfants exécutent des danses folkloriques. Puis nous allons rapidement nous coucher aidés par le vin. Le lendemain nous devons nous lever à 5h30 !

06 décembre 2010

Premiers jours en Argentine : Salta, Cachi

Nous visitons la ville, prenons le téléphérique pour admirer Salta de haut depuis la colline qui la surplombe.

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C'est une très jolie ville avec des places agréables et un centre colonial.
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Le lendemain nous prenons le bus à 7h pour le village de Cachi. La route est superbe, elle monte beaucoup et les paysages changent complètement. D'abord une vallée complètement verte (ce qui contraste avec l'aridité générale), puis nous passons par un plateau en altitude avec des millions de cactus à perte de vue. Voici une vidéo de la route puis du panorama de Cachi.

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Cachi est une jolie petite ville coloniale
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Nous campons, visitons le parc thématique "todo lo nuestro" où des habitations de toutes les époques ont été reconstituées.

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Il y a même quelques miniatures et Vineta se prend pour Alice :
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Comme toujours dans la région en se baladant on adopte de nouveaux amis
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Nous rencontrons un couple de français charmants et très intéressants avec qui nous dînons.

05 décembre 2010

En route pour l'Argentine !

Après une grasse matinée (lever à 8h), nous prenons le bus pour Salta en Argentine. Le trajet, de jour, est magnifique. Nous traversons d'abord le désert, une plaine, un salar, avant d'arriver au pied des montagnes. De l'autre côté, il pleut, et nous voyons les nuages se déverser littéralement depuis le sommet sur notre versant.
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En arrivant en haut, nous nous retrouvons dans un épais brouillard, et notre descente de l'autre côté se fera sous la pluie ce qui nous fait du bien après des semaines de désert.
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Nous passons des montagnes roses et mauves et de vertes prairies.
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Puis nous traversons une zone carrément verte !
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Le soir nous arrivons à Salta et allons directement dîner dans un restaurant argentin. Cela faisait 5 mois que j'attendais ce moment et là, je ne suis pas déçu ! Nous prenons un bife de Lomo et un bife de chorizo (il ne s’agit pas de saucisson mais d’une pièce de bœuf). La viande est succulente ! Tendre, vraiment délicieuse et le vin qui l'accompagne est parfait, nous allons nous plaire en Argentine !

04 décembre 2010

Premier jour au Chili

1 Flotter à la surface d'un lac de sel dans le désert

Ce matin encore nous nous levons de bonne heure pour partir nous promener à vélo. Promenade sportive : plus de 5h aller / retour à travers le désert pour se rendre à la laguna Cejar. Voici une petite vidéo de ce trajet dans le désert :


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Il s'agit d'un magnifique lac bleu au milieu du désert suffisamment profond pour qu'on puisse s'y baigner même si l'eau y est bien fraîche.
L'eau est tellement salée qu'on flotte sans difficultés.

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2 La vallée de la lune

L'après midi, nous partons visiter la vallée de la lune, célèbre pour sa ressemblance avec la surface de notre satellite. La cordillère de sel où elle se trouve est une chaîne de montagne de 100km de long située dans le désert d'Atacama et formée par une accumulation de strates de sable et de sel, déformées par les mouvements tectoniques puis sculptes par l'effet de l'érosion.
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Les paysages sont extraordinaires.
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Cette falaise qui ressemble à de la roche est faite en cristal de sel enduit d'une fine mais solide couche de sable apportée par le vent :
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En grattant à peine on fait apparaître le cristal :
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En fin de journée, lorsque la température baisse, on entend de puissants craquements. Tel un glaçon plongé dans un verre d'eau, toute la montagne se met à craquer. Le cristal chauffé par le soleil toute la journée et bien dilaté, se contracte au moment où il passe à l’ombre.
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Un peu plus loin, une immense étendue de sel a été sculptée par le ruissellement de l'eau à l'époque lointaine où les pluies étaient abondantes grâce à l'évaporation de l’eau d’un lac aujourd’hui disparu.
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Aujourd'hui cette zone est totalement aride et de par la composition du sol elle est considérée comme l'une des plus inhospitalières à la vie. D'où le nom de vallée de la mort :
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La journée se termine par un coucher de soleil sur le désert aux couleurs spectaculaires.
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3 Soirée astronomie.


Dans cette région désertique en haute altitude, le ciel est clair et sans un nuage. C'est l'un des meilleurs endroits au monde pour observer les étoiles. L'ESA a construit le VLT (very large telescope) dans la région et l'ALMA, gigantesque complexe de radiotélescopes est en chantier.

C'est là qu'a choisi de s'installer Alain Maury. Passionné d'astronomie, il organise chez lui des soirées d'initiation, d'observation et de discussion.
Passionnant et plein d'humour, après nous avoir rappelé des bases d'astronomie, il nous apprend à lire une carte du ciel, à reconnaître les constellations tout en nous racontant des anecdotes amusantes.
Nous sommes venus au Chili principalement pour le rencontrer et nous ne sommes pas déçus. Par contre nous ne pourrons pas visiter le VLT car la date tombe très mal. Au retour, nous nous consolerons en regardant Quantum of Solace, le James Bond qui a été tourne dans les installations de l'ESO.

03 décembre 2010

Arrivée au Chili (jour 5)

Nous repartons le lendemain à 4h30, traversons de superbes montagnes et finissons par rejoindre une route familière, celle du désert de Dali. Le Chili est proche et effectivement on arrive bientôt au poste frontière : une simple barrière avec une cabane et un drapeau bolivien au milieu du désert !
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Rapidement, nous arrivons côte chilien et là, c'est la surprise : une route en bitume comme on n'en avait pas vue depuis longtemps, avec des lignes blanches et des indications ! Des panneaux indiquent les limitations de vitesse, les virages dangereux, les débuts et fin d'interdiction de doubler... Voila 4 mois qu'on n'avait pas vu cela !

La frontière est délimitée par les montagnes et en arrivant au Chili, nous avons un panorama incroyable sur le désert d'Atacama. La route descend pendant 160km, nous passons ainsi de 5000m à 2500m d'altitude. Et ce n'est qu'en arrivant en bas, que nous passons la frontière côte chilien.

Nous arrivons à San Pedro d'Atacama, un petit village plein de charme dans le désert d'Atacama, entièrement tourné vers le tourisme. Les maisons sont construites en adobe et les rues ne sont pas goudronnées. La ville la plus proche est à 70km et la vie est assez chère.
Nous trouvons un hostel formidable : la casa del sol nasciente, à 4 blocs de la place centrale. C'est très rustique (l'hostel  le moins cher de la ville) mais la gentillesse et l'accueil des propriétaires (Jocelyne Sorónsen et son mari) sont incroyables.

Toute la journée ce sera un choc pour nous : les conducteurs sont civilisées et courtois : ils ne nous foncent plus dessus en klaxonnant comme si on était des animaux (comme au Pérou et en Bolivie). Ils utilisent même de leurs clignotants et ralentissent aux intersections. Quelle tranquillité en ville, quel plaisir de se promener et de traverser les rues !!!

02 décembre 2010

Traversée du Salar (fin du jour 4)

A 16h, nous repartons en direction du Chili avec une autre agence mais dans un Land Cruiser aussi vieux que le précédent. Nous avons le soleil dans les yeux et au début le chauffeur ne semble vraiment pas habitué à faire cette route ce qui est plutôt inquiétant. Puis, le soleil se couche et comme ce matin, les phares ne marchent pas. Mais ça ne perturbe pas notre chauffeur qui conduit avec des feux de croisement un peu faiblards.
Vers 19h il quitte la route principale et prend un petit chemin de terre. Nous pensons d’abord arriver au camp mais il est encore loin. C'est simplement que la route du Chili devient une petite piste que notre chauffeur connaît comme sa poche. Cela vaut mieux car il n’y a aucune indication. La voiture traverse plusieurs petites rivières, mais la vieille Toyota tient le coup. On comprend mieux pourquoi il n'y avait pas de bus, mais que des 4x4 pour cette liaison.
Finalement nous arrivons à un refuge où nous passons la nuit. Nous arriverons demain au Chili.

Pour terminer avec le salar, voici une carte de toutes nos photos :

Cliquez ici pour l'agrandir.

Le salar d'Uyuni (jour 4)

Nous partons à 4h30 pour voir le soleil se lever sur le Salar. Il fait nuit et au moment de prendre la route, les phares ne marchent pas. Après avoir vainement essayé de réparer, notre chauffeur part lentement à la lueur de la petite veilleuse qui se trouve sur le pare-choc et nous arrivons rapidement au Salar tout proche. Sans lumière, nous sommes rassurés de rouler sur cette interminable étendue de sel parfaitement plane.
Alors que la voiture fonce à toute allure droit devant, le soleil se lève progressivement. On ne voit que du sel, partout à l'horizon. On se croirait sur la mer et on a l'impression de naviguer en bateau, c’est une étrange sensation. La voiture avance mais comme il n’y a aucun repère et encore moins de route, on a l'impression de rester sur place.
Soudain nous nous arrêtons pour admirer le magnifique lever de soleil sur ce monde plat et blanc sans horizon, semblable à un studio photo. Nous en profitons pour prendre quelques clichés amusants…

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…puis nous reprenons notre route jusqu’à une île étrange, entièrement recouverte de cactus géants.
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Nous grimpons nous promener jusqu’au sommet de cette ile. A notre retour, surprise, Marta nous attend avec un somptueux petit déjeuner. Un fois rassasiés, nous partons à pied dans l’immensité de ce désert de sel, et un peu plus tard le 4x4 vient nous récupérer pour nous emmener visiter une autre île avec des momies pré-incas.
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Nous reprenons la route et cette fois ci nous roulons 2h sans nous arrêter tout droit dans le sel. C’est très monotone et nous avons beau lutter contre le sommeil, nous nous endormons tous, l’un après l’autre.
Voici une vidéo de cette incroyable journée !


Nous arrivons finalement à un hôtel musée entièrement construit en briques de sel.
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Après une dernière séance photo, nous disons adieu au Salar.
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Nous roulons en direction de la ville d'Uyuni. Juste avant d'arriver de quitter le salar, juste au bord de la terre ferme, nous voyons des ouvriers ramasser le sel à la main. Les 4x4 passent sans se gêner au milieu de l'exploitation.
Après un dernier déjeuner ensemble, nous quittons cette petite équipe très sympa avec qui nous avons passé 4 jours.
Direction le cyber café pour écrire le blog. La connexion internet est trop lente pour uploader les photos.

01 décembre 2010

L'arbre de pierre (jour 3)

Nous nous levons plus tard que d’habitude, à 6h du matin, et retournons tranquillement à la laguna colorada. Mais arrivés là, surprise, nous avons vraiment du mal à reconnaitre l’endroit où nous étions hier soir car l’eau a complètement changé de couleur !! Nous avions beau être prévenus, c’est incroyable !
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Nous nous promenons tranquillement autour, la glace craque sous nos pas.
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Un peu plus loin nous apercevons comme une brume. Nous nous approchons et découvrons une source d'eau chaude qui se déverse dans le lac pour le plus grand bonheur des flamants roses !
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Les couleurs sont extraordinaires, le lac prend des teintes bleues et vertes par endroits.
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Nous reprenons notre route. Voici d'étranges roches éparpillées dans le désert : "l'arbre de pierre"

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Un peu plus loin, nous rencontrons une multitude de lacs : le lago Honda (ce qui signifie qu'il se trouve plus bas que la route).
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Nous ne sommes pas les seuls touristes dans cette zone
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Dans toutes ces lagunes, le blanc n'est pas du sel mais un mélange de minéraux comme le souffre qu'on sent bien.
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Le lac suivant : Charcota
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Un lac sec : Ramaditas ou arco iris
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Un nouveau lac rempli de flamants roses. Le lac Hedionda (du même nom que le lac du 1er jour).
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Puis le dernier lac : Cañapa
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Point de vue sur le volcan Ollaque (en activité)
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Partout dans la région nous observons d'étranges mousses vertes dures qui semblent recouvrir les rochers. Ce sont des Yareta, une sorte de corail vert qui pousse au rythme d'1 cm par an. On observe de petites bulles de sève à la surface, les paysans l'utilisaient comme combustible mais c'est désormais interdit.
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Marta, notre cuisinière nous a encore préparé un excellent repas
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Un peu plus loin, nous arrivons au village de San Juan. Petite pause, visite d'un musée pas très intéressant et soudain nous apercevons 3 énormes cactus !
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Finalement nous arrivons à Villa Candelaria (3700m) où nous passerons la nuit dans une chambre faite de briques de sel.
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