Certains vont même jusqu'à enduire les cordes du hamac de mousse à raser pour éviter que les fourmis ne s'en servent de raccourci pour passer d'un arbre à l'autre. Mais ici, le pire ennemi de l'homme est le moustique. Il existe des moustiquaires spéciales pour hamac, et des hamacs qui intègrent une moustiquaire. Protection parfaite tant qu'il n'y a pas de trous, et à condition de ne pas s'enfermer avec un moustique (malheureusement, ça arrive!)
En général on va planter le hamac dans un carbet (sorte d'abris en bois) mais dans la nature il est plus pratique de l'accrocher entre deux cocotiers. Les pluies sont courtes à cette saison mais il suffit d'un peu, pour qu'ensuite avec l'humidité on passe la nuit trempé. La parade consiste à fixer solidement une bâche au dessus du hamac. Ça a l'avantage de nous protéger du danger bien réel des chutes de noix de coco durant la nuit.
Nous sommes partis super équipés en matériel de camping, mais il faudra attendre la Bolivie ou la Patagonie pour s'en servir. Pour l'instant Greg et Max nous ont prêtés un hamac simple et un hamac moustiquaire. En arrivant au Brésil il va falloir s'équiper en hamac moustiquaire, surtout pour remonter l'Amazone. Voilà qui ne va pas faire plaisir à nos épaules déjà chargées de 20Kg par temps chaud.
Donc panoplie complète = hamac + moustiquaire + bâche.
Pour cette première expérience, j'ai bien pris le temps de fixer les cordes de crainte que le hamac ne se détache durant la nuit !
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